🌘 C Était Quand La Dernière Fois Pièce De Théâtre

Présentation La pièce est créée en 1958 à Broadway (New York), dans une mise en scène d’ Arthur Penn, avec Henry Fonda et Anne Bancroft. Le succès est immédiat. À Paris, elle est créée en 1959 au Théâtre des Ambassadeurs dans une mise en scène de Luchino Visconti, avec Jean Marais et Annie Girardot remplacée en tournée par Demême, les apparitions des ouvreuses dans la salle ont contribué à créer une ambiance particulière: les enfants avaient vraiment peur. C’était la première fois qu’ils assistaient à une pièce de théâtre, dans une salle aussi belle. Cela a AlexisCampion, Le Journal du Dimanche. « On se souvient de Michel Bouquet et Rufus incarnant Fin de Partie il y a 25 ans sur la scène du Théâtre de l’Atelier. Ce spectacle-là s’annonce aussi à l’Atelier. La filiation est faite () grâce à Lavant et Leidgens, le public a ri tout au long de la pièce. turboUn spectacle mené tambour battant, un duo de comédiens au top, une écriture rebondissante (et même un peu de philosophie, pour quand on a le temps, entre deux éclats de rire). Très bon moment. C’était quand la dernière fois! Maisvers la fin il y a eu des danses et ça c'était le moment que j'ai le plus aimé. Il y avait des danses turques et espagnoles. C'était plutôt drôle. Le moment que j'ai beaucoup aimé c'est quand la fille et le Turc se marient et que tout le monde était amoureux dans la pièce ! Nassima » « J'ai adoré cette pièce. J'ai trouvé ça Unimprévu heureux pour la pièce finalement selon Liam Murray Scott, il interprète Richard Dreyfuss. « Ca amène une toute nouvelle lecture de la pièce après les 2 années que nous venons de passer. Ça la rend encore plus proche des gens. C’était déjà le cas parce qu’on peut se reconnaître dans ces personnages mais ça nous Letitre de la dernière pièce de Florian Zeller qui se joue en ce moment au Théâtre de l'Oeuvre à Paris et jusqu'au 5 janvier 2017, annonce tout théâtre"c'était quand la dernière fois" Ajouter un message à la discussion. Page : [1] Page 1 sur 1. beber50. beber50 Posté le 28/06/2020 @ 10:14 . Petit astucien. Bonjour, J'ai oublié de regarder la pièce de théâtre d'hier soir "c'était quand la dernière fois" sur paris première. est ce que éventuellement, quelqu'un aurait enregistré cette pièce ? merci. Publicité. Page : [1 Résumédu spectacle. Une soirée qui dérape. Romantisme et sushis étaient au programme. Mais rien ne va se passer comme prévu. Alfred est l’incarnation même de la loose. Marco, lui, est l’incarnation de la classe. Malgré leurs différences, ce sont les meilleurs amis du monde. Pourtant, alors qu’Alfred pensait avoir prévu la Cétait quand la dernière fois ? Josette Discazeaux 22 novembre 2018 à 10h57min. Voilà la question que se posent les protagonistes de cette pièce de l’auteur Emmanuel Robert-Espalieu qui aurait pu s’intituler aussi, « chronique d’une mort annoncée ». Dans un décor très années 70, tout en turquoise et vermillon avec quelques aa4bKK. Notre ancienne GAEL Guest repart en tournée pour vous faire rire aux éclats avec son nouveau spectacle “C’était quand la dernière fois?”.Cet automne, Virginie Hocq fera une tournée des théâtres belges avec Zinedine Soualem. Les deux humoristes partagent l’affiche de “C’était quand la dernière fois”, une pièce signée Emmanuel pitch Quoi de plus efficace pour régler un problème que de s’en débarrasser de manière définitive » ? Un soir, comme tous les soirs de sa petite vie bien ordonnée, une femme va commettre le pire l’indicible et inavouable acte, d’empoisonner, de mettre à mort son mari. Une comédie délirante et bien sûr pleine de le contenu inséré d'un réseau de médias sociaux qui souhaite écrire ou lire des cookies. Vous n'avez pas donné la permission pour ici pour autoriser cela de toute façonLes dates Le 11/10 Centre culturel de Nivelles Le 12/10 Théâtre Royal de Mons Le 13/10 Théâtre Saint-Michel, Bruxelles Le 19/10 Salle Baudouin IV, Braine-le-Comte Le 20/10 le Forum de Liège Le 21/10 Théâtre Royal de Namur Le 24/11 Palais des Beaux Arts Le 29/03 Le Central, La Louvière Le 30/03 Centre culturel de Huy Réservez vos tickets iciPLUS DE CULTURE L’amie prodigieuse » les premières images de la version télé sont là Marc Lavoine Aimer quelqu’un, c’est lui apprendre à marcher seul » Cinéma 5 sorties à ne pas rater en septembre Ce qu’on a pensé de la dernière saison d’Orange is the New Black Rencontre Claire Chazal se prête au jeu du tac-au-tac Situation Cette scène est la dernière de la pièce, tous les personnages s’y trouvent. Dans la scène précédente, Carle annonce la mort imminente de Scapin, un marteau… lui a brisé l’os » c’est un hommage à Cyrano de Bergerac, mort de cette façon, et à qui Molière doit la fameuse réplique que diable allait-il faire dans cette galère » et dit que Scapin, avant de mourir, veut parler à Géronte et à Argante. Cette scène correspond à une attente attente d’un nouveau tour de Scapin, qui avait dit Laisse-moi faire, je trouverai moyen d’apaiser leur courroux » III, 8 Intérêt C’est la dernière scène, donc il faut la justifier comme telle c’est-à-dire montrer comment elle poursuit le propos initial les fourberies de Scapin, précisément tout en y mettant un terme. Or, ce que nous constatons ici, c’est que nous sommes devant une nouvelle comédie » de Scapin et que la scène s’ouvre sur une autre scène dans laquelle Scapin et Géronte sont les acteurs, et le reste des personnages, des spectateurs. Tout cela assaisonné d’un comique de situation et d’un comique verbal qui amène en définitive au triomphe de Scapin cf. l’usage à la fin de la pièce de le porter en triomphe. Mouvement La scène est bâtie sur un schéma ternaire une demande de pardon, une discussion avec une coda » une fausse fin suivie d’une reprise et enfin un accord général comme doivent finir toutes les comédies. Premier mouvement L’entrée de Scapin est une véritable mise en scène qu’il faudrait souligner. La didascalie deux hommes qui portent Scapin, la tête entourée de linges invite à une entrée très remarquée qui déjà fait naître ce comique visuel du déguisement. Scapin joue ici son dernier rôle le personnage d’un mourant, qui va bientôt disparaître. Et de fait, son existence s’arrêtera, comme celle des autres personnages, à la fin de la scène Qu’on me porte au bout de la table en attendant que je meure », qui est en même temps qu’une plaisanterie de Scapin sur le personnage qu’il vient de jouer, un clin d’œil de Molière sur son personnage qui va disparaître au baisser de rideau. Une tirade entrecoupée d’exclamations, censées reproduire la douleur, non sans mépriser le style oratoire de la supplique remplie d’humilité Avant que de rendre mon dernier soupir… je vous conjure de tout mon cœur… ». Il s’agit d’émouvoir pour obtenir le pardon. Deuxième mouvement Les deux interlocuteurs les deux pères, dindons de la farce » ne réagissent pas de la même façon Argante qui n’avait pas été battu pardonne. Quant à Géronte faut-il voir un silence réprobateur quand il laisse parler Argante et Scapin sans intervenir ?, il en a gros … sur le dos. Donc va s’instaurer un dialogue qui repose sur un double comique un comique de situation et un comique verbal un vieillard, battu, ne veut pas quon le sache, par crainte du ridicule. Ici Molière a exploité au maximum le thème farcesque du vieillard battu on a assisté une première fois à la scène quand il recevait ces coups de bâton, puis on a entendu le récit de la scène de la bouche de Zerbinette, et enfin on entend le rappel de la scène par Scapin, qui fait à chaque réplique revient sur les fameux coups de bâton, et la scène débouche alors sur un comique verbal qui développe une situation dont le mécanisme est l’inversion des rôles ce n’est pas Scapin qui demande grâce, mais c’est Géronte qui le supplie de se taire, et l’humilité et les remords - feints de Scapin sont une torture supplémentaire infligée à Géronte qui, devant le chantage de Scapin, demandera grâce. Dans ce sens, la scène est bien en continuité avec le reste de la pièce se moquer des vieux barbons. Notons que cette comédie » de Scapin doit absolument se faire en présence de tous les autres personnages, qui conditionnent l’attitude de Géronte ; ainsi se justifie que dans une scène qui réunit tut le monde, seuls parlent sauf les deux répliques d’Argante deux personnages ce qu’ils se disent est dit pour être entendu par les autres, et justifie d’ailleurs le principe même du théâtre où tout dialogue a toujours une double destination l’une s’adresse à l’interlocuteur, et l’autre au public. Le comique du dialogue est simple l’un cherche à parler des coups de bâton, et l’autre cherche à le faire taire, mais c’est le caractère répétitif du procédé qui crée le comique, et ces coups de bâton que Géronte voulait tenir secrets réapparaissent à cinq reprises dans le dialogue. Et une série d’implicites vient alors étoffer le sens premier du dialogue en apparence Scapin dit pardonnez-moi, mais en réalité... si vous ne me pardonnez pas, je vais tout dire ! », quant à Géronte, en apparence, il dit je te pardonne », mais en réalité c’est pour que Scapin se taise et par e qu’il sait qu’il va par sa mort se taire définitivement. C’est ce qui explique du reste la réplique sur laquelle on reviendra je te pardonne à la charge que tu mourras » et qui dévoile naïvement l’arrière-pensée de Géronte je te pardonne parce que je sais que si tu meurs tu ne pourras pas parler. C’est Scapin qui, bien que constamment interrompu, mène le jeu ses répliques sont plus longues, et s’il reprend à cinq reprises l’allusion aux coups de bâton, dont une fois en tête de phrase, en position de sujet, donc le plus visible ! il l’associe à chaque fois à des remords hyperboliques le plus offensé par… témérité bien grande que… douleur inconcevable… ». Et précisément le comique repose sur la volonté qu’a Géronte d’empêcher Scapin de nommer le destinataire des coups de bâton, donc de dissocier le je » du vous » objet de son action. Géronte est de plus en plus irrité cf. les répétitions tais-toi… tais-toi, te dis-je… jusqu’à la réplique Ne parlons plus de rien, je te pardonne tout », qu’attendait Scapin. Ce que Géronte ne voit pas, c’est que, encore une fois, Scapin se joue de lui cet excès de scrupules est en même temps une astuce pour être pardonné mais aussi un ultime coup de bâton, symbolique, cette fois, à Géronte. D’où la surprise, pour Géronte, d’entendre Scapin s’exclamer Ah ! monsieur, je me sens tout soulagé depuis cette parole ; » qu’il faut entendre dans les deux sens celui qu’entend Géronte, soulagé » des remords qu’il avait pour l’avoir frappé, celui qu’il comprend un peu tard soulagé = je vais mieux ! je ne meurs pas ! » et la bêtise de Géronte donne un nouveau départ à la scène car ses deux répliques je te pardonne à charge que tu mourras » et je me dédis de ma parole si tu en réchappes », qui disent une même incongruité sur des modes opposés je te pardonne / je me dédis montrent la naïveté mesquine du personnage et la réelle cause de son pardon. Donc on entend de nouveaux gémissements comique de répétition mécanique Scapin gémit et feint de mourir pour obtenir le pardon et la scène se répèterait infiniment si Argante n’y mettait un terme. Accord final Argante effectivement propose un pardon sans condition » pour Géronte, le pardon dépendait de la condition » qu’il avait formulée si tu en réchappes », et tout à nouveau rentre dans l’ordre, au milieu de la joie. Le Allons » conclusif signale que tous vont se retrouver autour d’une table. Conclusion Cette scène est donc une scène de dénouement, puisque on pardonne tout à Scapin à l’inverse des autres scènes mais elle est aussi la dernière comédie que donne Scapin, qui trouve le moyen et la ruse non seulement de se faire pardonner mais de rosser de coups de bâton, cette fois purement verbaux, ce pauvre Géronte. Donc il se fait pardonner parce qu’il joue encore un tour ce n’est pas qu’il renonce à ses ruses, mais c’est au contraire parce qu’il reste fidèle à lui-même. En ce sens cette scène s’inscrit bien dans le fil de l’œuvre jusqu’au bout, Scapin aura été le metteur en scène de ses capacités de comédien. Projet théâtre 2014/2015 L’année dernière avec mes CE1/CE2 j’ai adapté des albums de jeunesse Je suis le plus beau », Je suis le plus fort » et Le loup sentimental » pour en faire des pièces de théâtre et ce fût une réussite ! Notre spectacle de fin d’année fût sympathique ! —————————————- Cette année j’ai des CE2 et j’ai décidé de faire une vraie pièce de théâtre ! Je suis tombée par hasard sur un texte qui m’a littéralement emballée ! Plein d’humour comme j’aime ! et en plus je vais jouer mon propre rôle dans cette pièce ! YES ! Cette année nous ferons le spectacle de fin d’année en juin mais nous devrions participer à la soirée théâtre de nos collégiens dans la salle des fêtes de notre village ! ——————————————– –>Pour commander clic ici ! La manifestation Un texte de théâtre savoureux, idéal pour les spectacles de fin d’année ! Auteurs Grégoire Kocjan Illustrateurs de couv. Karine Bernadou Date de parution 26/08/2010 Dès 8 ans Résumé L’école est fermée. Les instituteurs ? Pouf ! disparus, volatilisés. Devant l’établissement, les élèves mécontents manifestent. On veut des devoirs ! » Vive les dictées ! » La maîtresse leur manque… Ah, la maîtresse ! Sa voix quand elle faisait l’appel, son parfum, et même les punitions qu’elle donnait, c’était bien ! Et puis peu à peu, les élèves commencent à perdre leurs mots et à tout mélanger… 3 euros le livre ——————————————– Ce que j’aime dans cette pièce ? Le texte est truculent ! C’est un univers bien connu des enfants, c’est un contrepied fort sympathique à jouer les enfants qui veulent retrouver leur maîtresse pour travailler, pour être moins bête, pour ne pas se bagarrer … » C’est un texte sympathique à jouer pour les élèves … en quelques séances je suis épatée par le talent de mes élèves !!! Des émotions diverses à jouer, des personnalités différentes, une maîtresse qui joue son rôle et qui participe au spectacle de plein pied ! Bref j’ai adoré ! ——————————————- Structure de la pièce *Scène 1 Groupe A = un meneur et 3 enfants + 2 passants adultes + groupe B + C 1 enfant en arrière plan *Scène 2 Groupe B = un meneur et 4 enfants + Groupe A + C 1 enfant en arrière plan *Scène 3 Groupe A + B + C 1 enfant + la maîtresse L’enfant du groupe C est un enfant dissipé qui ne pense qu’à faire des blagues pas très sérieux … il ne parle qu’à la fin il clôt le spectacle ! C’est le contrepied de ses camarades … lui est ravi de ne pas aller à l’école ! Ce qui fait une pièce à 12 élèves + 1 maîtresse J’ai donc divisé mon groupe de 24 élèves en 2 et nous ferons deux représentations. —————————- Nous avons donc fait deux représentations public en salle des fêtes devant des spectateurs admiratifs du travail effectué par leurs enfants. Si j’obtiens la permission de tous les parents d’élèves, je diffuserai très bientôt la vidéo du spectacle si cela vous intéresse ? Qu’est-ce qu’elle est passée vite cette deuxième partie de saison ! J’ai l’impression que c’était hier que je publiais mes conseils pour l’hiver 2022. Comme d’habitude, je n’ai pas pu voir tout ce que je souhaitais, j’ai été déçue par des spectacles que j’attendais brillants, j’ai été surprise par d’autres que je n’attendais pas au bon endroit… Et c’est ce qui fait la magie du spectacle vivant ! Et vous le savez sûrement, il y a un endroit magique hors de Poudlard qui s’appelle Avignon. Le Festival Off ouvre dans quelques jours, j’y serai dans un peu plus d’une semaine, et partout je vois les copains qui partent pour la Cité des Papes et qui préparent leur programme… comme vous êtes plusieurs à m’avoir demandé ma sélection, voici un petit aperçu de ce qui a pu retenir mon attention lors de l’épluchage traditionnel du programme du OFF ! C’est la tête de Pierre-Olivier Mornas qui m’a d’abord fait m’arrêter sur cette affiche. J’ai découvert le comédien en début de saison dernière dans une Ile des esclaves tout à fait honorable, et son visage a dû me marquer puisque me voilà à lire le descriptif de ce Héros présenté au Théâtre du Roi René. L’histoire attire la curiosité sans non plus déborder de fantaisie, mais c’est surtout la longue distribution, trop rare à Avignon, qui finira de me convaincre. Allez ! Un Héros – Théâtre du Roi René – 14h10 – Durée 1h30 J’avais déjà repéré ce spectacle dans la programmation des Déchargeurs, attirée par cette affiche pour le moins éloquente, mais il est tombé à une période où j’avais un planning déjà trop chargé pour rajouter des extras. Heureuse de le voir apparaître dans la programmation du Train Bleu où je pourrais donc satisfaire ma curiosité – et si je peux en plus en apprendre davantage sur Angela Merkel, c’est parfait ! Guten Tag, Madame Merkel – Théâtre du Train Bleu – 16h25 – Durée 1h20 Tous les prétextes sont bons pour sélectionner un spectacle dans la jungle avignonnaise. Pour La Fabrique des idoles, c’est le titre qui m’a interpelée, je ne saurais pas trop dire pourquoi. Le hasard fait bien les choses, l’idée de fictionnaliser notre quotidien pour parvenir à mieux le vivre me parle complètement. Je ne sais pas trop où ça va, mais clairement, on y va. La Fabrique des Idoles – Le 11 Gilgamesh – 20h15 – Durée 1h35 C’est plusieurs choses qui m’ont attirée ici. L’affiche en ombre chinoise, qui est assez graphique et se remarque dans la mêlée des affiches avignonnaises. Le nom de Josiane Stoleru, comedienne que je suis depuis quelques années maintenant. Celui de Glenn, derrière lequel je devine Glenn Gould sans être allée vérifier, j’imagine ma tête si ce n’est pas de ce Glenn là qu’on parle !. L’occasion peut-être de se réconcilier avec le célèbre pianiste dont les interprétations m’ont toujours laissée de marbre ! Glenn, naissance d’un prodige – Les Béliers – 11h50 – Durée 1h30 Chloé Oliveres, je l’ai découverte il y a plus de dix ans maintenant dans un texte de Besset, Je ne veux pas me marier. J’ai suivi son parcours, la formation des Filles de Simone, collectif engagé dont les spectacles aux noms à rallonge abordent avec humour des préoccupation féministes, et j’ai été un peu étonnée – et ravie ! – de découvrir la présence de son seul en scène à Avignon cette année. Je connais mal Patrick Swayze, en plus, ça tombe bien ! Quand je serai grande, je serai Patrick Swayze » – Les Béliers – 14h30 – Durée 1h C’est dans la sélection de Théâtre Cote Coeur que j’ai piqué celui-ci. Très sensible à la cause écologique, mais toujours un peu perplexe à l’idée de la mettre au coeur d’une pièce de théâtre, j’ai envie de faire confiance à ce spectacle dont le titre chante tout seul dans ma tête chaque fois que je le lis. Et puis, ça sera l’occasion de découvrir le théâtre des Doms, où, je crois, je ne suis jamais allée. La bombe humaine – Les Doms – 16h25 – Durée 1h25 Ca fait un petit bout de temps que Marie-Julie Baup est absente des plateaux. Trop longtemps en vérité ! Son nom sur l’affiche me suffit à réserver ce spectacle. Et en jetant un coup d’œil approfondi, je note la présence de Thierry Lopez dont le spectacle Ich bin Charlotte avait beaucoup fait parler il y a quelques années. Bref, autant de raisons de découvrir ce spectacle ! Oublie-moi – Théâtre Actuel – 11h55 – Durée 1h15 Encore un spectacle qui a plus d’une corde à son arc. La première que j’ai repérée, c’est la présence d’Elisabeth Ventura, trop rare sur les planches depuis quelques années. Je suis ravie d’avoir une occasion de la retrouver. La seconde, c’est évidemment Johanna Boyé, la metteuse en scène que rien ne semble pouvoir arrêter après les succès de Est-ce que j’ai une gueule d’Arletty et de Je ne cours pas je vole lors des précédentes éditions avignonnaises que j’avais repéré, mais manqué, elle revient avec cette adaptation de roman plus que prometteuse. Avec une distribution importante, rare dans le OFF, je ne vais pas bouder mon plaisir. L’invention de nos vies – Théâtre Actuel – 17h30 – Durée 1h35 Je suis toujours à la recherche d’un spectacle musical dans ma sélection du OFF. Il m’avait manqué l’année dernière, je compte bien me rattraper cette année. Eric Laugerias, je l’ai croisé plusieurs fois sur scène ces dernières années, souvent chez Nicolas Briançon. Je connais son talent de comédien, ce sera l’occasion de découvrir celui de chanteur – et quoi de mieux pour ça qu’un récital Reggiani où les chansons se jouent autant qu’elles se chantent ? Reggiani par Eric Laugerias – Les Gémeaux – 23h – Durée 1h25 Toujours dans ma quête de spectacle musical, c’est évidemment le nom de Béatrice Agenin qui a attiré mon oeil sur celui-ci. La réunion de la mère et la fille, sur scène, pour chanter ce qui leur tient à coeur, c’est quelque chose qui me parle. Une fantaisie qui m’interroge. Notre petit cabaret – Au coin de la lune – 15h – 1h15 Je me souviens de la présentation de Cinq étoiles lors de la conférence de presse du festival des Floreales sorte de dystopie à la Black Mirror où tout est noté sur cinq, ça m’avait déjà bien fait envie à l’époque. La participation de Emmanuel Besnault au projet, que je ne découvre qu’aujourd’hui, achève de me convaincre tout à fait. Vivement ! Cinq Etoiles – La Factory – 15h50 – Durée 1h15 C’est le mot de professeur dans le résumé de la pièce qui a attiré mon oeil pour celui-ci. Professeur, c’est un métier qui me fait envie depuis toujours, j’y ai beaucoup pensé récemment, j’ai dû partager des interrogations avec Sebastien Bravard qui nous raconte son histoire et cet Élémentaire m’apportera peut-être des réponses. En tout cas, j’ai hâte d’entendre ce que ce maître d’école du jour et comédien de nuit a à nous raconter sur sa double vie. Elementaire – Le Train Bleu – 10h – Durée 1h10 Là, c’est un peu le mystère. Qu’est-ce qui m’a arrêté sur ce spectacle, je ne sais pas trop. Peut-être le nom de Solenn Denis, dont j’avais découvert le travail avec Sandre il y a quelques années, mais c’était en tant qu’autrice et non qu’actrice. Cela a suffi pour me donner envie de lire le résumé, et m’intriguer complètement par cette forme qui se déroule entièrement dans une cabine téléphonique. Franchement, je demande à voir. Téléphone-moi – Le 11 – 18h10 – Durée 1h40 Encore un spectacle qui multiplie les critères de sélection. D’abord, le titre du spectacle, original sans faire l’intéressant, ce qui me fait m’arrêter quelques secondes. Ensuite, le nom de Stanislas Roquette, découvert dans Le Fils mis en scène par Jacques Lassalle il y a quelques années. C’est toujours chouette de retrouver un comédien dans un spectacle totalement différent. Enfin le Train Bleu, en qui j’ai entièrement confiance pour la programmation et je crois que ça se voit un peu dans ma sélection. Le thème du spectacle m’évoque La métamorphose des Cigognes, qui avait ouvert mon OFF de l’année dernière complètement au hasard, et qui avait tiré dans le mille. Plutôt de bon augure, non ? Insuline & Magnolia – Le Train Bleu – 14h30 – Durée 1h20 J’ai toujours une hésitation à Avignon lorsque reviennent de gros succès que j’ai manqués rattraper mon retard en bénéficiant de la sérénité du bon spectacle ou continuer d’essaimer les créations pour faire monter l’excitation de la découverte ? Dans la peau de Cyrano, je suis a peu près sûre d’aimer, on me l’a conseillé moulte fois, le spectacle reprend des extraits de ma pièce préférée. C’est gagné d’avance ! Dans la peau de Cyrano – Théâtre des Corps Saints – 16h50 – Durée 1h20 Je n’ai jamais trop compris pourquoi ma mère avait acheté Les mecs que je veux ken en librairie, c’est pas franchement un titre pour elle, mais le fait est que le livre a fini par atterrir chez moi et que je l’ai tout simplement dévoré. J’ai l’impression de déjà connaître un peu Rosa Bursztein à travers ce journal pas si intime de sa vie sentimentale et un peu professionnelle, mais j’ai déjà hâte de retrouver sur scène cette étrange liberté dans laquelle le manque de confiance en soi se fait toujours une place. Rosa – Les Béliers – 22h35 – Durée 1h05 Ali Bougheraba. C’est l’un des premiers noms que je cherche lorsque paraît la programmation du OFF chaque année. Que ce soit avec l’équipe des Oubliés de la Cannebière, pour du stand up ou comme metteur en scène d’un spectacle d’improvisation, je ne manque jamais ce qu’il propose. Alors, si c’est dans Gueules Noires qu’on peut découvrir son travail cette année, ce sera Gueules Noires. Point. Gueules Noires – Le grand pavois – 13h50 – 1h15 J’ai vu revenir le nom de Pierre Cuq dans plusieurs spectacles ces derniers temps, et le voilà qui revient sur le programme du OFF, en tant que metteur en scène cette fois-ci. Je n’ai jamais voulu transformer mon Festival en un moment trop politique, j’essaie toujours de garder un équilibre entre tous les genres théâtraux malgré la prolifération des spectacle militants ces dernières années, mais je ne dis jamais non à quelques spectacles engagés pour venir ponctuer ma sélection. Avec Seuil, je pense que j’ai touché dans le mille. Seuil – Le Train Bleu – 10h – 2h20 J’ai manqué plusieurs fois Conseil de classe qui avait fait beaucoup parler de lui il y a quelques années. C’est d’ailleurs par ce succès au Off que j’ai entendu parler pour la première fois de Geoffrey Rouge-Carrassat, me poussant à découvrir son spectacle Roi du silence L’année dernière. Même si je reconnais avoir été plus déstabilisée que franchement convaincue, je garde le souvenir d’un vrai travail théâtral qui me donne envie de retrouver le comédien avec ce texte qui peut-être me parlera davantage. Conseil de classe – La Reine Blanche – 20h – Durée 55 min Celui-ci, c’est à la sélection du Magazine Théâtral que je le dois. Je suis souvent friande de ce qui mêle science et création, les deux milieux entre lesquels je navigue au quotidien, alors un spectacle monté par un acteur à la double-casquette de comédien et biophysicien, ça m’intéresse tout de suite – d’autant que je connais l’exigence et la qualité de ce que propose la Reine Blanche, spécialisé dans le mélange art et science. Cerebrum – La Reine Blanche – 14h25 – Durée 1h15 Ils sont bons, les attachés de presse. Je n’avais pas repéré ce spectacle dans la programmation des Halles alors même qu’elle fait partie de celles que je scrute minutieusement d’habitude. C’est en recevant un courriel au titre racoleur style L’ANCIEN PENSIONNAIRE DE LA COMÉDIE-FRANÇAISE que j’ai découvert le spectacle. J’ai toujours beaucoup aimé Elliot Jenicot et Français ou pas Français, je continue de suivre son parcours avec plaisir. Le facteur cheval ou le rêve d’un fou – Théâtre des Halles – 11h – Durée 1h20 Je suis toujours à la recherche du bouquin qui me happe tellement qu’il me fait arrêter de vivre dans le réel quelques jours. Monte Cristo est de ceux là. Quand j’ai découvert ce roman, je n’ai plus pu m’arrêter. Je crains toujours un peu les adaptations d’œuvres qui m’ont marquée – toujours peur d’être déçue- et j’avais déjà répère Les prisonniers du chateau d’if au off l’an dernier sans oser vraiment m’engager plus avant. C’est peut-être l’occasion. Monte Cristo – Le 11 Gilgamesh – 10h – Durée 1h40 Impossible de venir au OFF 2022 sans passer par le nouveau lieu dont on a tant parlé La Scala Provence, écho sudiste de La Scala Paris ouverte par Mélanie et Frédéric Biessy il y a quelques années. Après épluchage de la programmation, de laquelle on a retiré ce qu’on a déjà vu à Paris, à la Scala ou ailleurs, je retiens un spectacle qui fera la continuité avec mon édition 2021 j’avais vu Jubiler, avec Benoît Giros mis en scène par Pierre Notte, autour du couple, ce sera Un certain penchant pour la cruauté, autour de questions sociales et d’idées préconçues dans cet environnement si particulier qu’est la famille. Un certain penchant pour la cruauté – La Scala Provence – 13h05 – Durée 1h20

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